Sophie Dupont
Service(s)
42 rue Borie,
33300 Bordeaux
%73%6f%70%68%69%65%2e%64%75%70%6f%6e%64%40%75%2d%62%6f%72%64%65%61%75%78%2e%66%72
Laure Babin, étudiante à l’IAE de l’université Bordeaux, est lauréate du prix Ubooster 2020 pour son projet de basket 100% recyclé et vegan. Portrait d’une angevine venue il y a quatre ans étudier le management international à Bordeaux, aujourd’hui à la tête de Zèta Shoes.
Personne de contact
Service(s)
42 rue Borie,
33300 Bordeaux
%73%6f%70%68%69%65%2e%64%75%70%6f%6e%64%40%75%2d%62%6f%72%64%65%61%75%78%2e%66%72
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.
« Petite, je rêvais d’être styliste. Les choses se sont faites autrement, et j’ai finalement
poursuivi vers la voie du management. » Fille d’instituteurs, Laure Babin a toujours eu envie de
créer, de mettre en pratique toutes ces idées qui l’ont traversée. « J’ai toujours souhaité me
lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Pour autant, il me fallait canaliser mes idées
et trouver celle qui ferait sens et me pousserait à me dépasser chaque jour. »
Dès son
entrée à l’IAE de l’université de Bordeaux, elle souhaitait porter un projet entrepreneurial : «
J’ai commencé avec un projet davantage tourné vers la tech. Mais, je ne suis pas allée au bout de ce
projet. Il s’agissait peut-être simplement du mauvais moment pour me lancer. J’ai préféré attendre
de gagner en compétences. » C’est ce désir d’entreprendre et l’envie de porter un projet avec du
sens, qui deux ans plus tard l’ont poussé à créer Zèta.